[validé] John Arthur Williams

Ambiance Musicale


Je m'appelle Williams. John Arthur Williams. J'ai 33 ans. Mais j'ai parfois l'impression d'en avoir plus...

Mon histoire ? .... Très bien.. Je vais vous la raconter. Asseyez-vous, et ne vous inquiétez pas, je ne cacherai rien.

Ça me fais du bien de parler...

Histoire personnelle :

Je suivis de brillantes études de médecines en France, auprès de mon père Robert Latriant, Médecin de campagne. Robert avait accepté (suite a des pression) que je ne porte pas son nom mais celui de ma mère, bourgeoise de la haute société Londonienne, mariée à l’avocat Edward Orson Williams, de Williams, Hector and Cie., cabinet réputé. J’ai vécu dans l’ignorance jusqu'à ce qu’à mes 14 ans, un sursaut de courage de mon père biologique le pousse à menacer Elizabeth Williams de divulguer à son mari les lettres que robert et elle s’échangeait alors qu’elle passait ses vacances en France. Je découvris à la fois la facette implacable de ma mère, la faiblesse et la naïveté de mon « père », et l’intelligence, la douceur et l’honnêteté d’un étranger avec qui je me sentais pourtant plus proche que jamais, mon véritable père.

J’abandonnai alors coup sur coup ma famille anglaise, et restai avec Robert, me destinant à suivre le même chemin que cet homme qui avait su à la fois avoir la force de laisser son enfant partir dans un monde ou il ne manquerait de rien, et avoir suffisamment de fierté pour lui avouer la vérité alors qu’il aurait l’âge de raison.
Je sortis premier de sa promotion, et à 25 ans seulement devins assistant de mon père dans le cabinet médical. Ma demi-sœur Mina, de 7 ans Ma cadette, fut la seule personne de Ma famille anglaise a garder contact avec moi, et la seule pour qui j’eu un profond respect. C’est par elle que j’appri que les époux Williams avaient décidés, plutôt que de créer un scandale au sein de leurs nom, de me faire passer pour mort, et de m’enterrer avec cérémonie dans le cimetière familial. Je ne serais ainsi plus jamais reconnu officiellement comme un membre de la famille…

Le jour de ses 26 ans, Je perdis mon père, Robert Latriant, à la suite suites d’une agression. Un morphinomane en manque avait attaqué Robert au couteau pour lui voler sa sacoche de médecin.
Effondré, je décidai en l’honneur de la mémoire de mon père, de reprendre son cabinet et de suivre ses clients médicalement. C’est ainsi qu’on m’apporta un jour un homme grièvement blessé suite à une rixe dans un bar. Cette homme était l’assassin de mon père !
Mon cœur se fendit de toutes parts, vous vous doutez bien…. Fallait-il, au nom de la mémoire de mon père, a qui j’avais promis de respecter la vie sous toute ses formes, soigner celui-là même qui m’avait enlevé l’être le plus précieux à mes yeux ? trop de remords, trop de regrets, trop de larmes, d’indécisions…
- « Regarde moi, lui avais-je dis, regarde celui a qui tu implore la vie…. Tu me demande de te sauver la vie, a moi, Alors que tu a enlevé celle de mon père…. Regarde moi ! »
Mes yeux remplis de larmes et de rage furent les dernières images que l’assassin vit. Je lui ait envoyé une surdose de morphine dans les veines. L’homme mourra les yeux ouvert, implorant… Je retrouva son adresse, un bouge minable dont je forçai la porte la nuit, et récupérai la sacoche de médecin de mon père.

Suite a ces événements, Je fut pris de fièvres cérébrales. Une fatigue intense m’empêcha de sortir même de chez moi. Mina , que j’avait mit au courant, Vint elle-même en France pour s’occuper de moi.
Plusieurs semaines de dépressions, de fatigues, de lutte… Mina du haut de ses 19 printemps, veillait tel un ange gardien se pencher sur moi qui avait tant besoin d’elle.
Ces semaines ne firent que renforcer leurs relation… Dans un accès de délire, je lui avouai que je l’aimais de tout son cœur, qu’elle était maintenant la seule personne qui comptait pour moi… Mina avoua la réciprocité de ses sentiments, mais aussi qu’elle se refusera à jamais à moi, quelqu’un soit les raisons…
Un amour incestueux et interdit, et pourtant si présent, si brulant, consumant jusqu’au plus profonds de Mon âme. Combiens de fois les mains féminines de Mina tremblèrent alors qu’elles épongeaient ma sueur, souffrant et délirant sur mon lit, combiens de lèvres détournées au dernier moment des miennes…
Je mis prés de 3 mois à me remettre. Ignoble ironie du destin, ma guérison n’était intervenu que pour me permettre de mieux m’occuper à mon tours de Mina, prise d’un étrange Mal….
Mina ne mangeait plus, tremblait et transpirait en permanence. Ses mots n’avaient parfois plus de sens… Et par-dessus out, de terribles cicatrices commençaient à Poindre sur sa peau…

- « John… Me Dit-il elle un soir qui devait être le dernier, John… Ne me touche pas je t’en supplie… Pas toi, Surtout pas toi.. je ne veux pas que tu souffre à nouveau par ma faute, alors que tu as eu tellement de souffrance déjà… »
Mina repoussait jusqu’aux baisers tendrement posés sur son front par un médecin impuissant à soigner celle qu’il aimait par-dessus tout… Ses derniers moments de lucidité, elle avoua tout….
Edward Williams, son père, abusait d’elle depuis que j’étais parti en France… Elle, mais aussi Elisabeth, sa propre épouse, qu’il lynchait devant le propres yeux de sa fille, dans une fureur sexuelle sans nom…
La syphilis.
Edward l’avait contracté d’une prostitué vois plus d’un an. Il avait refusé que cela se sache, et empêcha sa femme et sa fille de demander de l’aide à un médecin… Elles furent les victimes silencieuses de la brutalité et de l’affect mentale que provoquait la maladie sur l’homme, le poussant à violer jusqu’aux membres de sa famille.

« Papa, papa, à quoi bon vouloir sauver la vie des hommes, alors qu’il la gâche dans cesse ?!!.. papa, réponds moi, pensai-je alors que j’hurlai toute ma douleur, et pleurai toute les larmes de mon corps sur le sein de ma sœur agonisante… Si c’est à une telle vie que je suis condamné, je préfère la perde maintenant, et sans regret. »
C’est ainsi que je fis l’amour à Mina, qui comprit mon cœur et se donna alors totalement à moi. Elle mourut au matin, emportant avec elle les derniers vestiges de ma raison.

Mes amis, étudiants et collèges médecins rencontrés aux hasards des visites, Vinrent me chercher chez moi quelques temps plus tard, et aillant comprit à mes paroles délirantes le mal dont je souffrais, me soignèrent à la Pitié Salpetrière durant plusieurs mois. De nombreuses injections de pénicillines, et toute l’attention de ses amis me sauvèrent la vie. Mais je conservai de grandes séquelles mentales, un traumatisme important, a jamais vif.
Edward et Elizabeth moururent à leurs tours, sans me laisser le temps de les revoir une dernière fois. Mina morte, robert enterré, et moi survivant, Le médecin de la vie portant dans son âme le cœur des morts.

Seul au monde désormais, je suis retourné à Londres, dans l’espoir de retrouver un sens à cette folie qu’on appelle l’existence…


Sexe :

masculin

Orientation sexuelle :

Hétérosexuel.

Poids & Taille :

186 cm, 73 kl.
Description Physique :

John a les cheveux et les yeux marrons. Agité de tics faciaux, John a constamment les sourcils ou les commissures des lèvres en mouvement. D’allure décontracté, il s’habile souvent à la hâte, sans cravate ni veston, jetant sur ses épaules sa veste gris clair qu’il n’attache jamais complètement. Une casquette et une canne usée viennent compléter sa garde robe. Il marche le dos courbé, mains dans les poches, tel un quidam ne sachant pas ou aller. Durant sa convalescence il avait beaucoup maigrit, laissé pousser ses cheveux et sa barbe. Mais à la sortie de la Pitié Salpetrière, ses amis l'on convaincu qu'un homme qui veut prendre un nouveau dépars doit changer son corps comme son esprit. Aussi mlaintenant arbore-t-il une coupe plus légère, et se force à se raser régulièrement, dernière habitude "civilisée" s'il en est, qu'il a conservé en mémoirer de ses amis qui ont tellement fait pour lui. Il s'est egalement reforgé les muscles, mais à gardé cependant ce corps fin, paraissant presque frèle sous des vêtements trop grands.

Description Morale :

John à une forte tendance à la boisson. Morphinomane notoire, John est en passe de devenir une loque humaine. Il est cependant assez loquace, et a l’inverse de la plupart des intoxiqué, est capable de se lier facilement avec son entourage, pouvant même se révéler d’excellente compagnie. John, suite à une fièvre cérébrale, a conservé des séquelles psychiques relativement importantes, notamment une paranoïa latente qui peut se réveiller à diverses occasions. Cependant, il garde au fond de lui cet idéal du medecin, et même s'il ne s'en rends pas compte, et que parfois ses actes vont à l'encontre de sa vocation de medecin, ses pensées pour son père et Mina le guident toujours sur le chemin de l'altruisme.

Activité:

Médecin déchu. Pratique dans les bas fond de Londres pour subvenir a ses besoins plus que par charité.

Possède-t-il une arme?

En plus de sa canne épée, volée à un Bourgois voila plusieurs années, une certaine tendance à la paranoïa à poussé John a se procurer un pistolet qu’il dissimule dans une poche agrandit de sa veste.

Autres:
Signes particuliers : John à parfois des accès de délire incontrôlable. L’alcool, a l’instar de nombreux intoxiqué, l’aide à se maintenir dans un état « normal ». Etre a geins revient pour lui a voir remonter à la surface les symptômes de ses traumatismes.

j'ai été fort impressionée par ta fiche, je l'avoue ^^ mais il y a tout de même un petit bémol : il manque trois lignes, à la fois dans la description physique et mentale... on veut en savoir plus *.*

je reporte donc temporairement la validation, que j'ai hâte de rendre effective

Bienvenue !

Je viens d'arranger cela, en espérant que ça convienne maintenant.

bienvenu a toi doc. bravo pour ta fiche

nickel ! ^^ Encore Bienvenue, fiche validée évidemment =)

Merci à vous !

Sois le bienvenu!! ^.^

Super l'avatar

[éh oui, c'est malheureux, mais tout le reste a été dit avant xD]